Mise en scène : Anne KRAVZ-TARNAVSKY
Trois femmes se croisent sur le quai d'une gare. Un échange de regards et tout bascule. Le temps se fige. L'improbable se produit : elles se réveillent sur le sable chaud d'une île déserte. Quel lien existe-t-il entre Jeanne, séductrice-nymphomane, Annie, artiste-peintre démunie et Suzanne, provinciale coincée ? Un suspense entre rires et déchirements... jusqu'à la vérité ! Isolées du monde, toute vérité est bonne à dire..
Comédiennes : Virginie Churet, Agnès Faye, Géraldine Lavirotte
Un mot sur l'auteur :
Il y a un humour à froid et un goût pour l’explosif dans l’écriture de Gilles Abier. Chaque phrase compte et conduira nécessairement au clash, à l’irréversible, au mot de trop, celui qui fera gripper la mécanique précédemment construite. Toute échappatoire est d’autant plus compromise que Gilles Abier aime à explorer les territoires troubles de l'adolescence quand chacun cherche sa place, même (et surtout) au détriment de l'autre. Et si ses personnages ne sont pas d’emblée sympathiques, leurs petits défauts et leurs sales manies les rendent infiniment humains…
Il y a un humour à froid et un goût pour l’explosif dans l’écriture de Gilles Abier. Chaque phrase compte et conduira nécessairement au clash, à l’irréversible, au mot de trop, celui qui fera gripper la mécanique précédemment construite. Toute échappatoire est d’autant plus compromise que Gilles Abier aime à explorer les territoires troubles de l'adolescence quand chacun cherche sa place, même (et surtout) au détriment de l'autre. Et si ses personnages ne sont pas d’emblée sympathiques, leurs petits défauts et leurs sales manies les rendent infiniment humains…